Je peux te dire que mon cerveau va craquer. J’ai 2 équipes qui s’affrontent là-haut.
La créative qui a des idées d’articles, des envies de témoignages sur la sororité, des désirs de nouvelles activités… Et, la rationnelle, qui perfectionne ses connaissances en social media management, analyses statistiques, écriture de livre familial…
Bref, tu vois. Que fais-tu quand ça t’arrive ?
Cette semaine, j’ai entendu Julia Coudert, social media manager freelance, témoigner de cette situation dans un podcast. Elle disait que, “face à ce genre de trop plein, elle écrivait pour vider son cerveau et passer au sujet suivant”.
Ecrire pour vider son cerveau
C’est aussi ma technique. Pour le pro comme pour le perso. Ecrire permet de mieux se connaître, de déposer des tranches de vies, d’avancer et, sans aucune obligation, de transmettre.
Je pense sincèrement qu’une fois apprivoisée, l’écriture a des super-pouvoirs.
Je pourrais même écrire qu’à tenir sa plume, on se sent léger comme une plume. Lol.
Ne nous voilons pas la face. Ecrire peut être douloureux, peut prendre beaucoup d’énergie et de temps sans apporter aucune gratitude.
Aussi, je te propose de commencer simplement et doucement en sautant déjà le pas de vider ton cerveau avec un premier jet. Ecris spontanément sans jugement, sans relecture. Écris les idées au fil de tes pensées et prends plaisir à suivre ton flow. Savoure aussi le moment final. C’est fait. Finie la rengaine dans ton cerveau !
Ensuite, deux options : soit ce texte est juste pour toi et tu peux le ranger tel quel, soit tu le retravailles pour le plaisir d’éventuellement le partager.
Cette technique. C’est exactement celle que j’utilise pour tous mes écrits. Que ce soient mes pages du matin, mes articles, ma newsletter.
A toi dans les commentaires : que fais-tu dans cette situation ? as-tu déjà essayé l’écriture ?